Iridologie

L’iridologie permet d’établir un bilan de santé par l’observation de l’iris qui est le seul tissu transparent du corps.

L’iris est un miroir de l’état de santé.

Il nous informe sur la vitalité, les faiblesses organiques, les surcharges et les lésions. Il reçoit ses informations par le système nerveux sympathique, le sang et la lymphe. La pupille ainsi que la sclérotique (blanc de l’œil) apportent également de précieux renseignements.

L’iris joue le rôle d’un terminal image du cerveau. Il parle du terrain, des énergies qui circulent, des organes mais aussi des émotions. L’explication de la projection dans l’iris des troubles de l’organisme réside dans les relations étroites des structures cellulaires, vasculaires et pigmentaires de l’iris avec le système nerveux végétatif orthosympathique et parasympathique.

Les iris sont classés en trois grandes catégories : les hématogènes ou pigmentaires, les lymphatiques ou fibrillaires et les mixtes.

Ainsi, la vitalité se détermine principalement par la qualité de la trame irienne, le relief de l’angulation de Fuchs et l’équilibre des systèmes nerveux orthosympathique et parasympathique. Le type de toxines est mis en évidence par une surcoloration pour les colles et une décoloration pour les cristaux.

Pour estimer la perméabilité émonctorielle, il faut connaître la localisation des émonctoires principaux et ceci se fait grâce à une cartographie. La cartographie la plus utilisée à l’heure actuelle est celle de John Andrew.

L’iridologie est une méthode qui ne se suffit pas à elle-même et qui vient en complément des autres techniques d’investigation pour établir un bilan de santé mais elle reste l’outil privilégié du naturopathe.